Le train des orphelins – Tome 8 – Adieux – Philippe Charlot et Xavier Fourmequin

Lisa a plus d’une idée dans son sac pour arriver à ces projets. Alors pourquoi Joey ne déciderait pas lui aussi d’avancer, même s’il est vieux maintenant. Un nouveau départ qui peut donner des ailes à d’autres enfants qui ont des rêves pleins le coeur.


4ème de couverture
Les femmes du train prennent le pouvoir.
À la fin des années 1920, Lisa a été élue maire de Cowpoke Canyon par acclamation. Elle désigne la veuve Goswell comme shérif. Au grand désespoir du petit Joey, Lisa se laisse courtiser par le beau Lee, venu construire la maison des orphelins. Mais Lee imagine déjà Lisa en épouse soumise. C’est bien mal la connaître.
Soixante-dix ans plus tard, le vieux Joey a pris la route du Connemara, à la rencontre de la petite Louisa. Il est accompagné par la lumineuse Aileen, dont il continue à douter de l’existence réelle. Devant la situation préoccupante de Louisa, Joey voit un signe envoyé par Lisa et un sens à donner à son histoire.


Ce que j’en ai pensé? 
Ce tome se faisait attendre pour clôturer l’histoire. Joey est hanté par son passé et l’enterrement de Lisa ne l’a pas aidé à garder le moral.  Heureusement, qu’il y a eu ces échanges avec Louisa et un voyage en Irlande. L’histoire commençait à traîner en longueur. Les descriptions se faisaient plus importantes et peut de données nous était offerte. Ce tome semble clôturer vraiment la série, ce qui fait très plaisir. Je commençais à me demander quelle fin devenait possible. J’aime ce choix très positif de proposer un belle avenir à des enfants plein d’espoir. On ne peut plus changer le passé à Joey, son frère et sa soeur mais il est possible d’améliorer le futur des autres. Une ouverture qui permet au besoin aussi de refaire un cycle sur Louisa, par exemple.

Espérons que cela ce termine vraiment pour en faire une série de 8 tomes assez sympathique et passionnante à lire, du premier au dernier tome.

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